La ferme avicole russe Krasnaïa Poliana,
située dans la région de Koursk (sud-ouest), a enterré ou noyé un million de
poussins, après que l'entreprise a été déclarée en faillite, selon des
témoignages d'employés publiés mercredi sur internet.
Les images d'employés en larmes mettant les poussins âgés d'un à vingt jours dans des barils avant de les remplir d'eau ont été mises en ligne sur le site du porte-parole de la ferme, Dmitri Noskov.
Faute de pouvoir les nourrir, "un million de poussins ont déjà été éliminés et trois millions supplémentaires attendent leur tour", écrit le porte-parole.
"Les poussins plus âgés ont été enterrés vivant dans des tranchées, labourées ensuite par les tracteurs", selon des témoins cités par le site ibk.ru.
Les autorités régionales "ont décidé de déclarer la ferme en faillite à cause d'impôts impayés à hauteur de trois millions de roubles" (73.000 euros), a indiqué le directeur de la ferme, Vladimir Boutkeev, dans un appel à l'aide adressé au président russe, Dmitri Medvedev, et rendu public sur internet.
La ferme où travaille un millier d'employés produit la moitié des poulets de la région de Koursk, soit près de 1.000 tonnes par mois. (belga)
Les images d'employés en larmes mettant les poussins âgés d'un à vingt jours dans des barils avant de les remplir d'eau ont été mises en ligne sur le site du porte-parole de la ferme, Dmitri Noskov.
Faute de pouvoir les nourrir, "un million de poussins ont déjà été éliminés et trois millions supplémentaires attendent leur tour", écrit le porte-parole.
"Les poussins plus âgés ont été enterrés vivant dans des tranchées, labourées ensuite par les tracteurs", selon des témoins cités par le site ibk.ru.
Les autorités régionales "ont décidé de déclarer la ferme en faillite à cause d'impôts impayés à hauteur de trois millions de roubles" (73.000 euros), a indiqué le directeur de la ferme, Vladimir Boutkeev, dans un appel à l'aide adressé au président russe, Dmitri Medvedev, et rendu public sur internet.
La ferme où travaille un millier d'employés produit la moitié des poulets de la région de Koursk, soit près de 1.000 tonnes par mois. (belga)
Je viens d’écrire à l’Ambassade de
Russie en reprenant les points forts de ce scénario épouvantable et lui
demander d’intervenir.
Monsieur l’Ambassadeur,
Je suis profondément choqué par les images que l’on ma
envoyé concernant la mise à mort d’un
million de poussins d’à peine 1 jours vivants.
La ferme avicole russe Krasnaïa Poliana, située dans
la région de Koursk (sud-ouest), a enterré ou
noyé un million de poussins, après que l'entreprise a
été déclarée en faillite, selon des témoignages
d'employés publiés mercredi sur internet.
Il a été rapporté des images d'employés en larmes
mettant les poussins âgés d'un à vingt jours dans
des barils avant de les remplir d'eau ont été mises en
ligne sur le site du porte-parole de la ferme,
Dmitri Noskov.
Faute de pouvoir les nourrir, un million de poussins
ont déjà été éliminés et trois millions
supplémentaires attendent leur tour.
Les poussins plus âgés ont été enterrés vivant dans
des tranchées, labourées ensuite par les tracteurs",
selon des témoins cités par le site ibk.ru.
Il a été déclaré que les autorités régionales
"ont décidé de déclarer la ferme en faillite à cause d'impôts
impayés à hauteur de trois millions de roubles"
(73.000 euros), a indiqué le directeur de la ferme,
Vladimir Boutkeev, dans un appel à l'aide qu’il
adressé au président russe, Dmitri Medvedev, et rendu
public sur internet.
A première vue cet appel n’a pas été entendu vu que ce
l’on appel encore un « fermier » a décidé de
mettre à exécution la mort des poussins dans des
conditions je le répète ignoble et inhumaine !!!
Je vous demande, Monsieur l’ambassadeur, de faire en
sorte que ce genre de scénario de se reproduise
plus et de ne pas laisser vos « fermiers » en arriver
a ces extrêmes.
Les conditions d’élevage des animaux qui les vivent
sont déjà incompatibles avec leur besoin
physiologique et psychologique et ces hommes qui sont
obligés, je pense, à ce plié à des exigences
commerciales de plus en plus dur, ne devraient pas en
arriver a ces extrêmes et surtout de ne pas
considérer leurs animaux comme des êtres insensibles
et leur infliger de tels souffrances, même si l’on
est en faillite !J’espère de tout mon cœur malgré ma
rancœur pour ce qui vient d’arriver, de ne plus jamais voir dans
votre pays dit civiliser de tel acte de barbarie
envers des êtres aussi faibles et exploités.
Je vous prie d’agréer, Monsieur l’Ambassadeur, mes
sincères salutations distinguées et respectueuses.
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