Je viens d’écrire au Président de la République Française afin de le solliciter pour que la France puisse soutenir tout projet de conservation de cet animal que la CITES a lâchement abandonné aux griffes des tueurs en mal de sauvagerie.
Aujourd’hui on peu continuer a tuer l’ours blanc pour s’en faire un trophée !
Merci d’écrire également votre désapprobation face à cette décision scandaleuse.
Le Président de la République
Monsieur Nicolas SARKOZY
Palais de l’Elysée
55 rue du Faubourg Saint-Honoré
75008 PARIS
Monsieur le Président,
Je viens d’être alerté de la décision de la CITES, qui fait la pluie et le beau temps dans le
domaine de la vie animale sur terre, sur le commerce des ours blanc.
Cet animal emblème, malgré lui, du réchauffement climatique dont il est le premier a
souffrir, pourra continuer a être abattu pour que quelques allumés de la gâchette et en mal
de trophée puisse s’allonger sur sa peau.
Et ce sont plus de 3000 ours qui vont être abattu, sans compter les 700 tués illégalement
chaque année.
C’est donc sans compter le réchauffement climatique, la pollution et la sur-chasse qu’une
épée Damoclès rode au dessus de la tête de ces êtres merveilleusement beaux et libres.
Je vous rappel que les populations d’ours polaires sont estimées à moins de 25 000 individus
répartis sur le cercle arctique, dans 5 états :Canada, Danemark (Groenland), Russie,
Norvège, Etats-Unis (Alaska). Une espèce classée « vulnérable » par l’IUCN du fait d’une
diminution de la population estimée à 30 % sur 3 générations (45 ans).
Pour ces raisons j’espère compter sur l’appui de mon pays la France pour soutenir tout projet
de sauvegarde de l’ours blanc et qu’en tant que président de la République vous pourrez vous
faire le porte parole d’un monde conscient de la perte de son habitat et de ses espèces
animales.J’espère sincèrement que votre gouvernement prendra des mesures pour affronter cette
autorisation de tuer le symbole de notre planète qui meurt.
Merci d’avoir pris le temps de lire ce S.O.S.
En attendant une réponse de votre part ou du ministère concerné.
Je vous prie d’agréer, monsieur le président de la République, mes sincères salutations
respectueuses et chargées d’espoir.
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