Suite à cette nouvelle j'ai envoyé un courrier et un message sur le site de l’ambassade d’Afrique du Sud à Paris.
Monsieur
l’Ambassadeur,
J’ai appris via un
article de presse français que la justice sud-africaine avait levée un
moratoire interdisant la vente de cornes de rhinocéros sur le marché intérieur.
Cette décision est
extrêmement dangereuse voir même catastrophique pour cette espèce déjà
fragilisée par un braconnage épouvantable.
A l’heure où les
grands de ce monde se réunissent autour de problèmes écologiques cette décision
va à l’encontre du respect que nous devons à toutes créatures vivant sur cette
terre. Et l’économie ne doit pas être un moteur pour perpétrer la violence et
le massacre d’une espèce animale.
Je n’ai aucun
pouvoir afin de tenter quoi que ce soit avec ou contre votre pays pour protéger
votre écosystème, mais c’est juste avec mon cœur et mon amour du vivant que je
tente par cette lettre de vous demander de tenter de remédier à cette décision
au plus vite pour que ne disparaisse pas cet animal magnifique qu’est le
rhinocéros.
Comptant sur votre
haute bienveillance.
Je vous prie
d’agréer, monsieur l’Ambassadeur, l’expression de ma haute considération.
Le
président-fondateur
Cédric
Paquet
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